Doux souvenir du Cambodge
Sur le fleuve Mékong ou sur le lac Tonle Sap, le visage des enfants courant à l’extérieur de leur maison pour me saluer d’un sincère « Hello » restera à jamais gravé dans ma mémoire. Il représentera pour toujours l’image que je me fais du Cambodge. Un peuple très jeune, accueillant avec une énorme curiosité.
C’était en 2008…6 ans déjà. Quand je lis les récits de voyageurs qui ont visité le Cambodge récemment, j’ai cette nostalgie d’un temps peut être révolu. Les critiques fusent sur la manière dont le tourisme se développe trop rapidement et souvent de manière négative, enlevant cette magie que j’ai pu ressentir dans ce pays. Je devrai y retourner pour le constater moi-même. Je suis heureuse d’avoir pu le visiter et j’en garde d’ailleurs un excellent souvenir. Le Cambodge est sans aucun doute, l’un de mes pays coups de coeur.
La gentillesse des Cambodgiens m’a marqué
Le lac Tonle Sap, le coeur du Cambodge
Aujourd’hui je vous amène découvrir le coeur du Cambodge. Non pas ses magnifiques temples d’Angkor dont je vous parlerai dans un autre billet, mais bien de son fleuve Mékong (et ses affluents) et du gigantesque lac Tonle Sap. Ce dernier est le régulateur naturel de cet énorme corridor fluvial qui arrive du Tibet avant de descendre 4400km à travers l’Asie du-Sud-Est pour se jeter dans la mer de Chine au Vietnam.
J’ai parcouru ce fleuve sur plusieurs tronçons au cours de mes voyages. J’ai d’ailleurs écrit un article dans lequel je vous présente des lieux symboliques du Mékong dans les différents pays qu’il traverse tels que la Chine, le Laos, le Cambodge et le Vietnam.
Mais aujourd’hui, c’est dans l’ancien Empire khmer que je vous amène.
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De Battambang à Siem Reap en bateau, c’est toute une expérience
« Nous aimerions rejoindre Siem Reap par bateau, c’est possible? »
« Non madame, impossible. Pas d’eau dans la rivière. À sec! »
Quelques heures plus tard à un autre homme…
« Y aurait-il une façon de rejoindre Siem Reap par bateau? »
« Oui, oui pas de problème. Le bateau part demain matin. »
« Ah ok, merci! »
Bon les avis divergents étaient un peu inquiétants, mais notre désir de naviguer sur l’un des affluents du Mékong entre Battambang et Siem Reap était plus fort que la crainte. Nous avons donc décidé de tenter notre chance. Au pire, nous allions rebrousser chemin et prendre un bus.
Un départ plutôt désastreux
Au petit matin, un tuk tuk vint nous chercher pour nous reconduire au bateau. Après une dizaine de minutes, ce dernier s’arrêta et le chauffeur nous fit signe de débarquer. Pourtant, il n’y avait aucun cours d’eau à cet endroit et encore moins une embarcation.
On nous désigna la boîte d’un pick-up où s’entassait une quinzaine de personnes et plusieurs grosses poches de marchandises. Sans rouspéter, on se trouva un petit trou et nous voilà partie sur des routes cahoteuses et sablonneuses de campagne pour une bonne heure. Nous étions dans une position vraiment inconfortable sur les rebords de la camionnette et à chaque trou ressenti, nous devions nous agripper pour ne pas être propulsées à l’extérieur du véhicule.
C’était tellement absurde qu’on en rigolait. Depuis le début de notre voyage au Cambodge, c’était le genre d’histoires typiques qui nous arrivait au moment où on s’y attendait le moins.
Nous avions enfin rejoint ce qui semblait être la rivière qui allait nous amener à Siem Reap. Un petit cours d’eau, large de quelques mètres à peine, d’un brun étonnement foncé et qui semblait être…presque à sec!
Un « Slow boat » coloré datant d’une autre époque nous attendait. La chaleur était suffocante, car nous étions en pleine saison sèche. Nos réserves d’eau arrivaient à leur fin. Nous étions à plus d’une heure de la civilisation et le premier pick-up qui nous avait amené était reparti, nous laissant là derrière. Seuls quelques gamins étaient apparus des broussailles, de leur air curieux, pour nous observer.
Des hommes ont tenté de mettre le bateau en marche, mais hélas, rien n’y faisait. Il était bien installé au fond du cours d’eau presque asséché. En sous-vêtements dans l’eau, les hommes tentèrent de tirer l’embarcation à main d’homme et ensuite à l’aide d’un autre pick-up, mais rien ne semblait vouloir bouger. Les heures passaient et nous étions assoiffées. Mais heureusement, le sourire des enfants étaient là pour nous remonter le moral.
Après beaucoup de travail, d’heures perdues et d’espoir, le bateau parvint finalement à flotter à la surface. Nous pouvions enfin prendre la route fluviale.
Naviguer jusqu’au lac Tonle Sap
La descente vers Siem Reap dura environ 7 heures. Quelques heures pour apprécier et regarder les paysages cambodgiens et la vie de ses habitants qui vivent le long de son cours. Les images dont je me souviens sont celles de maisons sur pilotis dans lesquelles s’entassent des familles entières, mais qui lors de notre passage sortaient à l’extérieur pour nous saluer de la main.
Maisons sur pilotis adaptées aux inondations
D’autres habitaient simplement sur de petits bateaux décorés d’énormes yeux sur la coque avant. Chacun vaquait à ses occupations quotidiennes, faisant la nourriture, le lavage de ses vêtements et sa toilette directement dans l’eau brunâtre de la rivière. On croisait également des pêcheurs qui tentaient d’attraper leur repas du soir avec leur énorme filet de pêche.
Les heures passaient et pourtant toujours ces mêmes sourires et les mains qui se levaient pour nous saluer. C’était impossible de s’en lasser. La vie de ces gens semblent rythmée par l’eau et tout ce qui s’y passe.
Toujours prêtes à être déplacées
Les villages flottants du Tonle Sap
Tout d’un coup le cours d’eau s’élargit et en quelques minutes nous nous sommes retrouvées sur un immense lac dont nous ne voyions plus les rives. De petites maisons flottantes apparaissaient ici et là. Non pas des bateaux-maisons cette fois, mais bien de vraies maisons et des commerces installés à la surface du lac. Des gens y vivent et se déplacent en barque pour rejoindre leurs voisins. Aujourd’hui les habitations sont là, dans quelques jours elles seront probablement ailleurs. C’est ainsi qu’est rythmée la vie sur le Tonle Sap.
Ce sont des maisons flottantes qui s’adaptent à l’environnement changeant du plus grand lac d’eau douce d’Asie du Sud-Est qui voit sa superficie se multiplier par six lors des moussons. Ce lac est particulier, car il sert de régulateur au fleuve Mékong. Le sens de l’eau s’inverse au courant de l’année (voir la carte en début d’article), servant ainsi de valve de sécurité contre des inondations inhabituelles. Même si elle est parfois insuffisante. Le Tonle Sap est également un énorme réservoir de poissons assurant ainsi l’alimentation à une bonne partie de la population cambodgienne. Il est même considéré comme étant l’une des zones les plus productives au monde.
Je n’ai pas pris le temps de m’arrêter dans les villages, car nous devions rejoindre Siem Reap. Mais je fus agréablement surprise de voir des gens vivant autant en harmonie avec un cours d’eau si puissant. S’adaptant à celui-ci plutôt que d’essayer de le modifier pour l’adapter à ses besoins.
Quels villages flottants visiter?
Il y a plusieurs villages flottants sur le lac Tonle Sap. Pour vous aider à faire votre choix, je vous suggère un excellent article de Tugdual, expatrié au Cambodge, qui nous livre les informations sur les différents villages flottants à visiter.
Et vous, avez-vous déjà visité le lac Tonle Sap au Cambodge? Quelle fut votre expérience?
20 commentaires
De retour du Cambodge (principalement Siem Reap et Phnom Penh car manque de temps sur place), nous avons était voir le Tonlé Sap et ses villages flottant; Une très belle expérience que je recommande aussi à tous.
Merci pour ton bel article qui résume tout à fait ce qu’il y a à faire et voir.
Je pense que le village est célèbre idées créatives du peuple, il n’est pas affectée, même si l’eau est en hausse ou appauvri
C’est l’un des endroits au Cambodge le plus authentique. C’est vraiment très dépaysant.
Bonjour Rachel,
Je découvre ton article que maintenant, tu écris un article sur le Cambodge quand à cette date j’étais en Asie eheh.
Peut-être qu’une prochaine fois tu essaieras de partir en saison des pluies c’est différent mais aussi plaisant 🙂
Je suis allée deux fois au Tonlé Sap, une fois en saison sèche et l’autre en saison des pluies voir deux villages différents.
J’ai été agréablement surprise de voir toute cette vie sur l’eau à Chong Khneas sans parler du business qu’il y a autour et très émue et triste quand j’ai découvert celui de Kompong Pluk en cette saison des pluies aussi touristique.
J’ai eu beaucoup de pluie mais pas assez dans le Tonlé Sap, pour les habitants du village, quand il manque d’eau, la pêche n’est pas très fructueuse.
La vie est « belle » quand on a de quoi manger et nourrir sa famille mais quand il y a peu de poissons, on ne s’arrête pas de vivre on continue d’aller à la pêche !
J’aimerais bien le visiter davantage le tonle sap d’ailleurs. J’ai pas eu le temps de visiter comme j’aurais eu envie les villages flottants. Je suis que passée. Mais c’est clair que durant la saison des pluies, ca doit grouiller de vie sur le lac. Moi j’y étais en saison sèche et avec la température excessive tout tourne au ralenti. Mais bon, il faut être prêt à recevoir des averses sur la tête en saison des pluies. Et ça, j’aime moins. Mais c’est clair que pour la qualité de vie des habitants, c’est mieux quand ça tombe. Donc si j’y retourne, tu me suggères davantage de visiter Chong Khneas?
Eh bien, de nombreux voyageurs critiquent le business qu’il existe autour de Chong Khneas, qu’il n’y a pas grand chose à voir que c’est cher etc.
Je ne suis pas du tout de leur avis. Et ce n’est pas du tout ma façon de voyager, se fier à 100% sur les avis des autres…
Si au Cambodge, tout le monde dit qu’il ne vaille pas le coup de visiter tels ou tels sites alors on visite pas grand chose -_-
J’avais besoin de voir, et de ressentir des choses pour mieux comprendre ce qu’il se passait là-bas.
Exemple: durant ma visite là bas, je me suis aperçue qu’une dame me parlait de sa barque mais je ne comprenais pas un mot de ce qu’elle disait, car je ne comprends pas le khmer. En fait j’avais bien compris une chose, c’est que ses mots n’étaient pas issus de la langue cambodgienne mais vietnamienne. Il y a un minorité de vietnamiens qui vivent dans ce village chose que je ne savais pas au début. Rien que ça, j’étais toute contente de me sentir en partie cambodgienne 🙂
Aussi, on pense toujours que les cambodgiens sont souriants et gentils, oui…mais il est important de voir que derrière ce masque il y a une population qui vit juste avec ce que la vie lui a donné ou ce qu’il reste à prendre…, alors ils le prennent. Il faut le voir sur place, non pas parce que je suis sadique mais tous ces enfants et ces familles ont besoin qu’on leur rende leur sourire et même plus à partager avec eux.
Alors nul ou pas nul, ce village comme tous les autres méritent d’être visité même si untel n’a pas apprécié.
Puis quand on part en voyage c’est pour découvrir des choses, des lieux, des régions, des personnes, bien ou pas bien, pas pour les éviter 🙂
Ahh ca tu as bien raison Rattana, il ne faut pas se fier sur l’avis des autres seulement. Il faut savoir se faire sa propre image d’un endroit. Et même parfois, aller au delà de nos propres perceptions initiales. Par exemple, la première fois j’ai vraiment trouvé Vientiane ennuyante à mort. J’y suis retournée et j’ai adoré. Ca dépend aussi de l’expérience qu’on y vit. Notre critique reflète cette expérience qui nous est propre. Alors oui tu fais bien d’aller voir par toi-même et de toute manière comme tu dis si bien quand voyage c’est pour voir des choses et non les éviter. On voyage pas pour voir seulement les belles choses, mais pour vivre une expérience et comprendre. Sinon ce serait que de consommer des cartes postales et je ne pense pas que ce soit le type de voyage que tu préconise. Mais c’est certain que quand on est limité par le temps et qu’on ne peut tout voir, il faut tout de même faire des choix d’endroits et souvent les commentaires des autres vont nous aider à faire ce choix. C’est tout à fait naturel d’être aussi inspiré ou rebuté par les expériences des autres. À chacun ensuite de voir ce qu’il recherche comme expérience.
J’ai adoré le Cambodge, ses habitants, ses paysages, ses temples, ses forêts. Bien sûr, il y a un peu trop de touristes autour d’Angkor mais n’en suis-je pas une également. Rêver d’Angkor est sublime et visiter Angkor l’est encore plus, on est abasourdi et émerveillé.
Quant au Tonlé Sap et ses villages lacustres, je ne les oublierai pas avec les arbres aux troncs plongés dans l’eau, la dame qui menait sa petite barque dans laquelle nous tanguions, parfaitement confiants, suivant ses conseils pour ne pas déséquilibrer la barque, découvrant les escargots d’eau. Je n’oublierai pas la famille du visage lacustre ni sa maison où nous avons passé une nuit, ni les enfants qui revenaient de l’école, ni la fillette de la communauté vietnamienne qui voulais qu’on lui achète le serpent qu’elle avait, enroulé autour du cou, ni la délicieuse cuisine locale, simple et parfumée d’épices…
Que de beaux souvenirs que vous avez Janine. Je comprends très bien cette passion dans vos mots quand vous parlez de votre expérience au Cambodge. Je crois que ce pays marque le voyageur. Ça devait être toute une expérience de pouvoir dormir chez une famille. Vous me donnez envie d’y retourner, prendre le temps de visiter davantage ce pays où j’ai passé à mon sens trop peu de temps. Ce n’est que partie remise et merci pour tous ces souvenirs qui m’ont replongé dans cet univers pendant un moment.
Salut Rachel !
Je découvre ton article aujourd’hui et je voulais avant tout te remercier pour la mention 🙂 Je n’ai encore jamais eu la chance de faire cette traverssée entre Battambang et Siem Reap, mais on la considère effectivement comme la meilleure des expériences en bateau possible au Cambodge !
Aussi, je voulais te rassurer sur le développement du tourisme au Cambodge. Ce qu’on entend ici et là reste sur des zones très ciblées, notamment le village de Chong Kneas qui a pris un virage surprenant dans son histoire. Pour le reste, le Cambodge reste ce qu’il est et ses habitants aussi, qu’ils soient riches ou pauvres 🙂
À très bientôt !
Bienvenue Tugdual 🙂 Ça fait plaisir pour la mention. C’est grandement mérité. Ton article est excellent et que dire des photos. Oufff! Rien à voir avec mes piètres photos prises il y plusieurs années hehe. Ahh je savais que c’était la meilleure expérience de bateau au Cambodge. Bien contente de l’avoir fait alors, même si ce fut un peu la galère. J’en garde un heureux souvenir 🙂
Tu me rassures en me disant que le Cambodge est encore un peu de ce qu’il était. J’entends tellement de mauvais commentaires. Surtout sur Angkor ou sur l’approche des Cambodgiens. Mais à lire ton article sur Angkor et comment le visiter en évitant les hordes de touristes, je m’encourage en me disant qu’il sera encore possible que j’apprécie ce lieu qui m’a vraiment marqué et que je souhaite revisiter un jour. Tu as ouvert ta propre agence de voyage au Cambodge?
bonjour, je n’arrive pas à accéder à ton blog afin de suivre tes conseils pour justement visiter le lac tonle sap et ses jolis villages flottants? d’avance merci de ton retour
Peut-être qu’ils ont le sourire en réaction à la misère que les Khmers rouges leur ont fait vivre à compter de 1977. Pour saisir l’horreur infligé à ce peuple, il faut aller à Tuol Sleng à Knomh Pen. Oui, c’est un peuple souriant et beau.
Peut-être bien Jean-Claude…quand tu as vécu une si grosse tragédie, tu as apprécié encore plus les petits plaisirs de la vie. Je sais, je suis allée visiter cet endroit et le champ d’exécution également. Je crois ce qui m’a le plus troublé, c’est de voir tous ces portraits des gens qui y sont passés. Leur regard rivé sur le notre. J’en ai encore la chair de poule quand j’y pense.
Les villages flottants sont vraiment impressionnants je trouve. Les barques sont vraiment basse, limite au raz de l’eau.
Moi ce qui m’impressionne Thomas c’est vraiment que les gens vivent complètement sur l’eau. Tout s’y fait.. les courses, l’école, la santé, la lessive, la toilette. Ca doit être un mode de vie assez particulier.
Le marché flottant m’impressione aussi. J’ai visité des marchés flottants sur la rivière Mekong au Cambodge, au Vietnam et en Thailande. Chaque visite me donne une expérience différente.
Notre voyage jusqu’à Siem Reap se fait au fil du Tonlé Sap. J’ai quitté Battambang en croisant quelques pêcheurs et famille sur l’eau. Le marché est notamment animé vers entre 6-7 heures du matin. Et aux marchés flottants, on peut voir les commerces, trocs, déguster des plats ou des fruits de la saison qui sont vendus sur les bateaux, ce qui serait une bonne expérience. On peut aussi passer une nuit après les visites dans plusieures maisons d’hote ouvertes par les locaux pour voir comment vivre les habitants.
J’ai une belle chance quand j’ai visité Chau Doc et traversé la frontiere Vietnam-Cambodge via cette ville.
Ahh avec vos mots vous me replongez dans l’ambiance de ces marchés flottants. Je ne savais pas par contre qu’on pouvait y passer la nuit. Je garde en tête pour une prochaine visite 🙂
Pour ma part ma première était en 2007 ! Il se trouve que je part demain à Phnom Penh que je ne connais pas encore et je vais revenir à Siem Reap également. En revanche ce n’est pas mon pays coup de coeur parmi ceux d’Asie…
Si je déduis à partir de ton nom de blog Romain, j’imagine que ton pays coup de coeur est la Thaïlande? 🙂 Tu as visité le Laos? Moi j’ai adoré. Phnom Penh est sale, mais super intéressante pour découvrir la culture cambodgienne. Et si tu passes par cette ville, je t’encourage à aller visiter Tuong Sleng. C’est horrible, mais c’est important de comprendre tout ce que ce peuple a peu subir. Passe un excellent voyage 🙂